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Une vieille dame vilaine, radine et exigeante vivait seule dans sa petite maison avec pour seuls compagnons, une chienne Grand Danois et un petit caniche mâle. La propriétaire me dit d’emblée : « C’est une gentille fille, elle ne vous fera rien sauf si elle ne vous apprécie pas. »

La bête qui semblait immense, démesurée, surtout à côté de ce caniche ridicule, s’approcha de moi pour me renifler. Visiblement, je semblais lui plaire.

La pingre, je veux dire, la mamie près de ses sous et pas courtoise pour un sou m’avait fait venir pour un p’tit boulot au noir : m’occuper des haies et du gazon. Le dernier jardinier avait fui. On ne cherchera à connaître les raisons qui paraissent évidentes. Rémunéré au lance-pierre pour au moins une bonne matinée de  boulot. En plus, elle ne vous lâche pas d’un œil, comme si elle craignait qu’on ne lui dérobe quelque bricole n’ayant rien qu’une valeur sentimentale.

Je commence par le gazon, et au bout de deux bonnes heures, l’herbe est tondue. Trente minutes de plus pour tout ramasser. Maintenant j’attaque la haie sous l’œil de l’octogénaire, campé dans une chaise longue à bascule sous sa véranda.

Débroussailleuse, tondeuse en mode silence, éteintes, je perçois un son assez régulier. La vieille c’était endormie là. Je m’approchai, laissai tomber un truc quelconque histoire de faire du bruit, elle ne remua pas d’un cil.

La véranda faisait le tour de la maison, la cuisine qui donnait dos à la dormeuse était grande ouverte. La chienne haute sur patte m’y suivi docilement. Il devait bien avoir un truc à lui donner à manger, pour l’occuper. Un sac de croquettes posé derrière la porte fit l’affaire. J’en pris une poignée que je déposai à même le carrelage. Elle ne se fit pas prier. Pendant qu’elle avalait gloutonnement sa pitance, je me mis à la caresser d’une main alors que de l’autre, je sortais ma queue déjà bien ra                                                                      ide. Je glissai deux doigts dans son énorme con, elle ne broncha pas. La dame âgée ronflait toujours, je pouvais l’entendre.

Je remplaçai mes doigts par mon membre et, mes mains de part et d’autre de la femelle Danois, j’entrepris des va et vient de plus en plus profonds et rapides. Bien qu’elle avait fini de manger, elle resta là, à se faire prendre. Elle soulevait sa queue pour me faciliter la chose. Sa vulve était énorme mais à l’intérieur, mon phallus était à l’étroit. Je voulais que ça dure, mais de un, sa chatte humide et chaude ne m’en laissa pas la possibilité, et de deux, il ne valait pas oublier la propriétaire.

Alors, sans plus attendre, j’éjaculai au fond de la chienne tout mon sperme et retira d’elle ma queue encore raide. A peine eu-je joui, que j’entendis la dame qui demandait, sa voix approchait :

_ « Mais où diable êtes-vous donc ? »

Je remontai rapidement mon pantalon, remarquai ma semence qui suintait de la vulve de la chienne, qui, fort heureusement, se retourna pour se nettoyer avec sa langue. Elle lapa la preuve du coït, le témoignage de l’étreinte puis se mit en quête des gouttes, des giclées au sol.

« Pourquoi ne répondez-vous pas, et que faites-vous là ? »

Je ne l’avais pas vu debout dans l’encadrement de la porte de la cuisine, ses mains sur ses hanches.

_ « Désolé, j’avais soif et votre chienne avait faim…mais, c’est bon maintenant. »

M’ignorant, elle demanda à la chienne « Que manges-tu là ? » Je me tus, et m’éclipsai. Je taillai un dernier arbuste,  puis rangeai mes outils et attendis ma paye.

Au moment de partir, je dis à la patronne de ces lieux : » Vraiment c’est une gentille fille, votre chienne et, elle m’a apprécié »